A quatre mains de Iboujo et Willy
Telle les déesses des temples antiques
Tu as conservé un maintien attique,
Contre le marbre blanc de ta peau
Notre belle histoire fait un tendre écho.
Un vol sauvage de ramier l’emporte
Lui faisant une gazouillante escorte
Dans un rayon de soleil diaphane
Perçant les vitraux d’une église romane.
Tel un ange au visage d’Eros, au cœur de Cupidon
Ta flèche séductrice fait mouche, par ton regard ébène
Sa cible pointée, le vitrail de ma chevelure au port de reine
T'enveloppe de ma douceur et d'Amour aux fils blonds
La pâleur s'estompe, laissant place aux teintes Or et Rose
D’ailes d'une colombe volant à la portée du sourire d'Oranos
De mon baiser posé un philtre d'Amour, que tout renaisse
Entends-tu la résonnance en ton céleste éther d'un cœur en liesse.
D’un amour que je déposerai palpitant à tes pieds d’airain
Quand je t’emporterai sur les aile d’un temps plus serein,
Ma merveilleuse caryatide à la tunique vaporeuse
Nous consommerons notre passion sous Betelgeuse.
Sous la protection de tous les Dieux du Panthéon
J’orchestrerai nos ébats charnels sous un orphéon,
Cupidon a lâché sur nous sa flèche de Parthe
Me blessant à l’âme moi le fidèle soldat de Sparte.
Iboujo et Willy
Telle les déesses des temples antiques
Tu as conservé un maintien attique,
Contre le marbre blanc de ta peau
Notre belle histoire fait un tendre écho.
Un vol sauvage de ramier l’emporte
Lui faisant une gazouillante escorte
Dans un rayon de soleil diaphane
Perçant les vitraux d’une église romane.
Tel un ange au visage d’Eros, au cœur de Cupidon
Ta flèche séductrice fait mouche, par ton regard ébène
Sa cible pointée, le vitrail de ma chevelure au port de reine
T'enveloppe de ma douceur et d'Amour aux fils blonds
La pâleur s'estompe, laissant place aux teintes Or et Rose
D’ailes d'une colombe volant à la portée du sourire d'Oranos
De mon baiser posé un philtre d'Amour, que tout renaisse
Entends-tu la résonnance en ton céleste éther d'un cœur en liesse.
D’un amour que je déposerai palpitant à tes pieds d’airain
Quand je t’emporterai sur les aile d’un temps plus serein,
Ma merveilleuse caryatide à la tunique vaporeuse
Nous consommerons notre passion sous Betelgeuse.
Sous la protection de tous les Dieux du Panthéon
J’orchestrerai nos ébats charnels sous un orphéon,
Cupidon a lâché sur nous sa flèche de Parthe
Me blessant à l’âme moi le fidèle soldat de Sparte.
Iboujo et Willy
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