Ne te fâche pas, opertam anima,
Mais cette nuit, tu vois, j'ai rêvé de toi.
Je croyais que le temps balaierait nos querelles,
J'attendais patiemment que ta rancœur se fêle…
Mais à la vérité, je n'ai plus d'illusions.
Je tourne tristement autour de ton fantôme
En espérant un signe, qui serait un baume
Sur mon cœur affligé par cette corrosion.
J'ai rêvé d'un hasard, au sortir d'un théâtre,
Au cœur de ce Paris où je ne suis jamais.
J'ai rêvé d'un regard, âme que j'idolâtre,
Tu me reconnaitrais, et tu me sourirais…
J'ai rêvé d'amitié, de chaleur et de paix,
Puis me suis éveillée…
Mais cette nuit, tu vois, j'ai rêvé de toi.
Je croyais que le temps balaierait nos querelles,
J'attendais patiemment que ta rancœur se fêle…
Mais à la vérité, je n'ai plus d'illusions.
Je tourne tristement autour de ton fantôme
En espérant un signe, qui serait un baume
Sur mon cœur affligé par cette corrosion.
J'ai rêvé d'un hasard, au sortir d'un théâtre,
Au cœur de ce Paris où je ne suis jamais.
J'ai rêvé d'un regard, âme que j'idolâtre,
Tu me reconnaitrais, et tu me sourirais…
J'ai rêvé d'amitié, de chaleur et de paix,
Puis me suis éveillée…