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Boulot, dodo...

wiliam59

Maître Poète
#1
Il n’y a plus de conducteur dans la loco.
Le train du futur va bientôt quitter les rails.
La solidarité n’est désormais qu’un mot.
Dans le passé, pour vivre il fallait du travail.
Le berger, pour l’étoile a troqué son troupeau.
Notre monde n’appartient pas à quelque canaille.
Les moutons sont à la merci de tous les maux.
Décidément, il faudra un jour qu’ils s’en aillent.
Le destrier industrie avance au galop.
Le cheval ne doit pas être habillé d’écailles.
Le cavalier désarçonné pleure son trot.
Les petits s’interrogent pendant que les grands baillent.
Le présent se revêt d’un habit de chaos.
Il nous faudrait à tout prix combler cette faille.
Tant de nos frères se disent que maintenant c’est trop.
Nous savons que la plupart d’entre nous déraillent.
Je les vois déjà avant le combat KO.
Je pressens une guerre, des grandes batailles.
Chacun avait le droit au travail, au boulot.
Gare à celui qui enlève du chainon la maille.
Je regrette les ampoules aux mains, mais quel culot !
Je préfère le mot fiançailles à funérailles.
Quand les mères s’inquiètent, elles déchaînent d’amers flots.
 

kinkin

Maître Poète
#2
Le travail c'est la santé et le métro dans tout ça tu as oublié de composter bravo criant de vérité félicitations amicalement Coconat
 

wiliam59

Maître Poète
#4
Je croyais (innocent) que la machine automatisée remplacerait avantageusement l'homme.
Encore une fois je me suis trompé.
La machine intelligente n'apporte qu'à certains.
Pas de distribution, que pour certains.
Ils se distribuent les bons points et nous donnent des avertissements.
Vous nous coûtez cher les vieux.
Alors au travail, mais le quel?
Vous nous emmerdez les jeunes, pas de travail.
Les incertains vivent dans la galaxie de l'erreur.
Peut-être attendent-ils l'horreur.
Une bonne guerre, casser tout, surtout le démuni.
Mais qui sont ces "penseurs"?
Des gens dans ces paradis "fiscaux".
Ils pensent que le monde est à eux.
Pas intelligents, malins et peureux.
Ils se rient de l'humain "machine à viande".
Merci pour votre lecture...
 

agrego

Maître Poète
#5
Quel village n’a pas sa brebis galeuse.
Ils sourient à leurs mères pas très heureuses.
Les bigotes parlent d’eux à l’heure du thé.
Elles versent une larme, pauvres déshérités.


C’est drôle de parler d’eux en grignotant.
Elles en reparlent, ça fait passer le temps.
D’autres ont oublié quelque part leurs gants.
Elles les appellent fous, c’est vraiment navrant.


Les âmes charitables donnent quelques euros.
Elles pensent qu’ils ne seront pas des héros.
Personne ne veut ou ne peut les comprendre.
On a des oreilles, est-ce pour entendre ?


D’autres disent qu’ils ont l’esprit illogique.
On se cache trop derrière cette logique.
Sur quelles certitudes nous appuyons-nous ?
Nous savons si peu, d’abord qui somme nous ?


L’homme progresse et j’en suis parfois d’accord.
De la vérité nous sommes loin du bord.
Notre progression est comme un grand cône.
Il se compose de préjugés, d’icônes.


Ce cône veut embrasser cet infini.
Il tient sur un point et n’es pas fini.
Il oscille dans un pseudo équilibre.
Attention, ça fait mal une chute libre.






Tiens.....t'en pense quoi ainsi...???



Agrégo
 

wiliam59

Maître Poète
#6
Quel village n’a pas sa brebis galeuse.
Ils sourient à leurs mères pas très heureuses.
Les bigotes parlent d’eux à l’heure du thé.
Elles versent une larme, pauvres déshérités.


C’est drôle de parler d’eux en grignotant.
Elles en reparlent, ça fait passer le temps.
D’autres ont oublié quelque part leurs gants.
Elles les appellent fous, c’est vraiment navrant.


Les âmes charitables donnent quelques euros.
Elles pensent qu’ils ne seront pas des héros.
Personne ne veut ou ne peut les comprendre.
On a des oreilles, est-ce pour entendre ?


D’autres disent qu’ils ont l’esprit illogique.
On se cache trop derrière cette logique.
Sur quelles certitudes nous appuyons-nous ?
Nous savons si peu, d’abord qui somme nous ?


L’homme progresse et j’en suis parfois d’accord.
De la vérité nous sommes loin du bord.
Notre progression est comme un grand cône.
Il se compose de préjugés, d’icônes.


Ce cône veut embrasser cet infini.
Il tient sur un point et n’es pas fini.
Il oscille dans un pseudo équilibre.
Attention, ça fait mal une chute libre.






Tiens.....t'en pense quoi ainsi...???



Agrégo
Les rêves sont mensonges.
Des hommes dans le songe.
Alors comment aller?
 

wiliam59

Maître Poète
#7
Quel village n’a pas sa brebis galeuse.
Ils sourient à leurs mères pas très heureuses.
Les bigotes parlent d’eux à l’heure du thé.
Elles versent une larme, pauvres déshérités.


C’est drôle de parler d’eux en grignotant.
Elles en reparlent, ça fait passer le temps.
D’autres ont oublié quelque part leurs gants.
Elles les appellent fous, c’est vraiment navrant.


Les âmes charitables donnent quelques euros.
Elles pensent qu’ils ne seront pas des héros.
Personne ne veut ou ne peut les comprendre.
On a des oreilles, est-ce pour entendre ?


D’autres disent qu’ils ont l’esprit illogique.
On se cache trop derrière cette logique.
Sur quelles certitudes nous appuyons-nous ?
Nous savons si peu, d’abord qui somme nous ?


L’homme progresse et j’en suis parfois d’accord.
De la vérité nous sommes loin du bord.
Notre progression est comme un grand cône.
Il se compose de préjugés, d’icônes.


Ce cône veut embrasser cet infini.
Il tient sur un point et n’es pas fini.
Il oscille dans un pseudo équilibre.
Attention, ça fait mal une chute libre.






Tiens.....t'en pense quoi ainsi...???



Agrégo
C'est bon mais c'était presque bon.
Merci de me suivre...